Les créateurs de L'Atelier s’exposent au Palais de Tokyo

11 jeunes créateurs de l’Atelier Chardon Savard ont eu l’opportunité d’exposer des pièces de leurs collections au Palais de Tokyo. Retour en images !

Une occasion unique pour nos créateurs de mode

Le samedi 29 Septembre 2018, dans le cadre de la conférence du lancement de Culture(s) de mode, le premier réseau de la recherche de mode en France, 11 jeunes talentueux étudiants de la formation Créateur de Mode de l’Atelier Chardon Savard ont été sélectionnés pour exposer une pièce de leur collection au Palais de Tokyo :

1. Anselme Laurent
Collection «Dommages Collatéraux»

2. Ambre Aumoitte
Collection "Les courbes de l’indifférence"

3. Benjamin Regnier
Collection "THICK"

4. Chao Sun
Collection Elio, Elio, Elio Eternal summer with your shirt

5. Chloé Coppola
Collection "Strange identities"

6. Lucas Meyer
Collection "Smalltown Boy"

7. Manon Floquet
Collection "Témoins des songes"

8. Noëmie Cadorin
Collection "La peau qui l'habite"

9. Soohyun Park,
Prix "Homme" du Festival des Jeunes Créateurs de Dinan 2018
Collection "Pyeongyang2025"

10. Valenttin Peron
Collection "Date limite 29.09.18"

11. Cécile Gray,
Prix du Public du Festival de Hyères 2018
Collection "Pourquoi les architectes s'habillent-ils en noir ?"

A propos de Culture(s) de mode

Culture(s) de mode est le réseau français de la recherche en mode. Il est composé de chercheurs et professionnels du secteur qui se sont rassemblés afin de valoriser la richesse des archives et des connaissances sur la mode en France.

Doté d’un manifeste, les missions principales du réseau sont :

• La valorisation de la recherche en mode en France
• Le développement de la communauté des chercheurs en mode
• La création d’une plateforme digitale pour la recherche
• Le soutien des chercheurs de demain.

La conférence avait pour objectif de souligner et mettre en lumière :

• I – Les Cultures de mode : Spécificités et particularités des approches
• II – La France – Incubateur de talents pour la recherche en mode
• III – Les passerelles entre mode, recherche et industrie